La nécropole romaine de Алискамп est un musée funéraire de la culture en plein air. Lieu мрачноватое, mais digne d'attention – ici se trouvent les vestiges d'anciennes cryptes, des sépultures et des chapelles. Les premières sépultures ont été faites au iiie siècle, et le dernier enterrement datent de la période de la révolution Française. Malheureusement, au milieu du XIXE siècle sur le territoire de Алискампа ouvert la voie ferrée, et d'une partie de la nécropole était aliéné du reste du cimetière. Dans cette partie se trouvent une chapelle du XVIE siècle et une léproserie.

Cette nécropole n'est pas un jour a été mentionné dans les œuvres littéraires et représenté sur les belles toiles. Алискамп et ses environs écrit à Vincent van Gogh et Paul Gauguin, et dans la littérature de son capturé par Dante Alighieri dans la Divine comédie, et Ludovico Ariosto dans la «Frénésie de Roland».

Le nom de la nécropole se traduit par «champs-Elysées», au début de son histoire, il était sous les murs d'Arles, mais quand la ville a grandi, il s'est avéré presque en plein cœur de la ville. À un kilomètre et demi de Алискана se trouve un amphithéâtre romain.

Алискамп est devenu le lieu de sépulture du premier évêque d'Arles, saint-Trophime, le martyr et saint-Генета – romain, qui a accepté de mourir pour la foi chrétienne. Les tombes de saints ont fait la nécropole très prestigieux lieu de repos, où voulaient être enterrés tous les notables et les riches citadins, ainsi que les citoyens des autres villes de l'Europe. La vérité est, dans le XIIE siècle, les reliques de saint Trophime, ont été transférés dans la cathédrale, et c'est un peu abaissé le statut de la nécropole.

Du XI au XVI siècle sur le territoire de la Алискампа est apparu environ deux douzaines d'églises et de chapelles, au XIIE siècle, a été fondée l'abbaye de Saint-Honorat, aujourd'hui détruit. En outre, Алискамп était le début du chemin de Saint-Jacques pour les pèlerins de la Provence. Plus tard, à l'époque de la Renaissance, la nécropole a subi le pillage à cause de ce qu'ont perdu les sarcophages romains à l'original de la décoration sculptée.