Tout près de Nicosie, les forêts luxuriantes situé à l'un des plus célèbres agissant des monastères orthodoxes de Chypre – le monastère de Maheras. Il a reçu son nom grâce à l'icône miraculeuse de la Mère de Dieu Махериотыссы, qui se traduit par «tête de coupeur». Selon la légende, une icône écrite par l'apôtre Luc, a été amenée à Chypre de Constantinople au temps de iconoclasme et caché dans les montagnes. Pendant longtemps personne ne pouvait savoir où elle se trouve. Mais au XIIE siècle, deux moines-ermites Ignace et Неофиту ont réussi à trouver une grotte qui servait de cache pour les icônes. Pour pénétrer à travers les broussailles épaisses dans la grotte, les moines utilisaient trouvé à proximité d'un couteau. Comme en grec, le mot «couteau» sonne comme «махери», l'icône elle-même et le monastère, construit sur l'emplacement de la grotte, et ont été nommés Maheras.

Outils pour la construction d'un monastère, à la demande du Néophyte et Ignace distingué de l'empereur de Constantinople, Manuel Comnène, d'abord a mis là-bas une petite chapelle, et, avec le temps, le lieu, un complexe avec l'église, d'habitation et dépendances, qui se développait activement. En outre, Maheras a obtenu le statut de ставропигиального, c'est-à-dire indépendante de la locales diocèses, et rend directement au patriarche.

Malheureusement, les deux à grande échelle d'incendie – en 1530 et 1892-m, presque entièrement détruit le monastère, réussi à sauver seulement la célèbre icône de la Mère de Dieu. Brûlé même le couteau avec lequel elle a été trouvée. Cependant peu à peu Maheras, bien que lentement, mais réparable. Nouvellement construit, il était seulement à 1900.

Après le recouvrement de l'indépendance de Chypre en 1960, la vie du monastère s'est arrangé – tous les bâtiments ont été restaurés, sont apparus de nouveaux de la chapelle et de l'église. Il y avait aussi un monument à la Grigori Афксентиу – «l'aigle de Maher», le héros de Chypre, de l'époque de la lutte contre les colonisateurs britanniques.

En ce moment dans Махерасе vivent plusieurs dizaines de moines, qui font de l'agriculture.