Le musée de la préfecture de police de Paris, c'est là où il lui faut être, – au commissariat de police de 5 de la capitale, au troisième étage. Le bâtiment мрачноватое, après tout, le poste de police. Mais le musée lui-même paie tous les inconvénients esthétiques.
L'histoire du musée commence en 1900, à Paris, l'exposition universelle – là a organisé une exposition de documents et de preuves matérielles, présentés par la préfecture de police. Neuf ans plus tard, le préfet de police Louis Lépine a décidé de créer, sur une base temporaire de l'exposition permanente du musée. Accueil le thème de la lutte contre la criminalité en France depuis le XVIIE siècle jusqu'à la fin de la Seconde guerre mondiale. Mais il est ici tout à fait moderne expositions.
L'histoire de la police française est curieuse et instructive. Napoléon, une fois au pouvoir, a constaté complète, l'incapacité de la police: sur les routes du pays, il était impossible de se déplacer en raison de шаек brigands. L'empereur a supprimé le banditisme les mesures sévères. Il a créé la préfecture de police, dirigée par le беспринципного, mais aussi la plus efficace de la ministre – Fouchet, qui était dans tous les modes de suite.
Dans l'avenir, la lutte contre la criminalité allait en France avec l'application de la aussi de méthodes non conventionnelles. En 1811, dans la préfecture apparut qui s'est évadé de la prison les criminels Vidocq et a proposé ses services. Dans le musée on peut apprendre à Vidocq a formé une brigade spéciale de l'ex-criminels – ainsi est née française criminelle de la police Сюртэ.
Une exposition raconte la naissance de son premier effective de la méthode d'identification proposée par simple secrétaire, la préfecture de Альфонсом Бертильоном. C'est maintenant il ya informatiques des banques d'empreintes digitales et de génétique de l'expertise, et au XIXE siècle, d'identifier la personne назвавшегося un autre nom, a été incroyablement difficile. Бертильон a inventé le système du mesurage et de la comparaison des différents paramètres, corps humain, croissance, la longueur et le volume de la tête, la longueur des doigts et des orteils. Le 20 février 1883, il a constaté que le détenu qui s'est identifié comme Дюпоном, en fait, est coupable sur le nom de famille Martin. Ainsi Бертильон pour la première fois introduit dans криминалистику méthodes scientifiques, mais plutôt un système appelé par son nom – бертильонаж. Elle était appliquée partout dans le monde, n'ont pas appris сличать empreintes digitales.
Sur les stands du musée se trouvent des armes et des uniformes de police, des outils de la criminalité et même une véritable guillotine, sur laquelle ont été exécutés françaises criminels. L'entrée au musée est gratuite.
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