Vieille ville – la partie la plus ancienne de Nice, dans laquelle il est facile de se perdre. Désordonné labyrinthe de ruelles, ses vieilles maisons, autour de des restaurants, des boutiques, des galeries d'artistes.
Se promener dans la Vieille ville de mieux à pied: pour de nombreuses rues étroites de la voiture ne passera, et le vélo devra autour de de pierre des escaliers. Mais le touriste sous la force d'explorer le triangle limitée avec l'orient Clé de la colline, vers le sud – front de mer Cette-Uni, à l'ouest de la promenade du Paillon, au nord, la piazza Garibaldi.
Au début du XVIIE siècle, ce petit triangle sous la protection de la citadelle et s'élevait à proprement Nice. Actuel avec les Alpes Maritimes de la rivière du Paillon, dans lequel les blanchisseuses elle lavait le linge et, parfois, a inondé la ville. À la fin des années soixante-dix du siècle своенравную la rivière упрятали dans un tuyau souterrain, elle a cessé de séparer la Vieille ville de la nouvelle, de l'immense arc le long de la baie des Anges.
Les anciens quartiers, pas seulement une attraction pour les touristes. Les nuits les locaux de la place se développent dans le café en plein air, on y danse, habitant de la Vieille ville de Nice barre de la fenêtre, dans l'espoir d'étouffer la musique et многоязыкий patois. Mais le matin, il est envoyé avec un panier sur le marché du cours saleya et à boire avec des amis un café dans un bistrot, озирая притихшую la rue. Deux de vie, du tourisme et de la plaine, vont de pair.
Dans la chaleur estivale de la rue, Vieux Nice, le miséricordieux envers touristique: le contraste de température incandescentes, les toits en tuiles et les étroites ruelles ombragées met en mouvement l'air est – il toujours le souffle de la brise fraîche. C'est pourquoi les citadins sans la moindre hésitation inscrivent en dialogue le linge pour le faire sécher. Multi-couleur de la maison aux volets verts ont l'air, comme si le temps s'est arrêté quelques siècles en arrière. Près aussi vieux petites baroques des temples: la chapelle de la Sainte-Trinité et du Saint-Suaire, l'église Saint-Jacques, la chapelle de la Miséricorde, avec ses éblouissantes de fresques et de la dorure, de l'église Saint-François de Paule, debout, en face de l'Opéra de Nice.
Les ruelles de la Vieille ville sont tellement étroites qu'apprécier la beauté des bâtiments, il est parfois difficile. C'est le sort du palais Lascaris de la rue Droite – pour profiter de sa beauté, il faut pénétrer à l'intérieur, où le touriste est orné d'intérieurs dans le style baroque italien et Musée des instruments de musique, le second en France, selon la richesse de la collection.
Sur la place du même Rossetti, dans le coeur de la Vieille ville, se dresse la magnifique cathédrale Sainte-Réparate, la patronne de la ville de Nice. Au iiie siècle de quinze ans fille de Césarée Palestinienne a refusé de renier le Christ et a été décapité, son âme dans la forme d'une colombe s'est envolée au ciel. La tradition veut que le corps de la martyre mettez dans la barque, et que les anges leur coup a conduit ici, sur le rivage de la baie des Anges.
Le touriste envoie ses pieds et истертым des pierres, des ruelles tortueuses, monte sur la tour Bellanda, afin de couvrir l'œil rayonnant, l'horizon de la mer, dans la langueur sucre s'assoit à la table de cafés de la rue déguster des gâteaux locaux socca avec le sel et le poivre noir. Avec le cimetière sur la colline de Château volera la sonnerie des cloches. Le vent apportera un souffle de la baie – même fraîche et propre, comme un souffle des anges de dix-huit siècles.
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